Dans Les Toilettes DUn Centre Commercial
Jaime bien allez dans les toilettes des centres commerciaux modernes, elles sont en général très propres, grandes et tranquilles pour sexhiber ou faire le voyeur en matant les pisseurs à côté de soi. Des fois ça marche, ils se prennent au jeu et ce peut être le début dune relation mais souvent ce nest que fugace, quelques attouchements tout au plus. Dautres fois, par contre, cela peut tourner mal, on peut se faire injurier ou mollester
Une fois un gars outré ma giflé et voulait appeler la sécurité
quimporte cest le risque et cest ce qui rend la situation excitante.
Cet après-midi-là, je suis en costume trois pièce bleu sombre et cravate. Le costume est bien ajusté et en laine soyeuse, assez chic car jai eu un rendez-vous le matin avec une cliente importante. Comme jai un peu grossi, la chemise, en coton satiné et le gilet me serrent un peu, le satin du gilet est bien tendu au dos et sur les côtés. En fait jaime bien ça. Le pantalon aussi est serré et me moule le paquet dautant que jai mis un string en soie qui le met en valeur. Je porte de souliers à talonnettes, un peu hauts qui claquent quand je marche
En gros je prends un peu un look et une démarche de tapette pour mamuser, en tortillant du cul. Jai envie de décompresser, envie juste faire une petite escapade pour me changer les idées et rien de mieux quune petite turlute sans conséquence pour cela ! Je me sens en chaleur, bien dans ma peu et rien quà cette idée je sens durcir ma bite en marchant.
Quand je rentre dans mes toilettes, à gauche il y a une rangée de cabines WC et à droite une rangée durinoirs. Il y a juste un gars qui est en train de pisser. Un black assez balaise, le crâne rasé. Il porte un jogging en nylon rouge, très léger, le pantalon lui rentre dans les fesses et dessine ces jambes musclées, cest un bon signe. Je me mets à côté de lui, nonchalamment je déboutonne entièrement ma braguette, sors ma bite pour pisser et, en même temps, je sors et dégage bien mes couilles, cest facile avec mon string.
Comme il ny a personne aux urinoirs et quil me plait, je suis en confianc. Japproche ma main vers sa queue pour la caresser. Une petit séance de touche pipi dans un premier temps me convient. On verra par la suite. Il se laisse faire un petit moment mais dun coup, il remet tout son matériel dans le jogging me dit « Suis moi ». Il passe devant moi en me rendant une caresse appuyée sur la bite. Il rentre dans une des cabines de toilettes située de lautre côté de la pièce. Il me fait un signe de la main, très clair et autoritaire, pour que je vienne le rejoindre. Je suis maintenant très excité, jai le cur qui bat, je nose refuser. Sans même refermer ma braguette et rentrer ma bite bandée, je le rejoins dans la cabine. Il ferme la porte immédiatement derrière moi et met le verrou.
Il murmure à mon oreille : « On sera mieux ici, non ? » mais aussitôt il mets son doigt sur ma bouche car lon entend quelquun entrer dans les toilettes. Le gars essaye douvrir la porte sans succès aussi il rentre dans la cabine à côté. On lentend immédiatement pisser, nous pouvons nous concentrer à nouveau à nos affaires.
Son pantalon de jogging en nylon me plait beaucoup et je me mets à lui caresser le sexe et les fesses à travers.
Nous néchangeons pas un mot, il y a des hommes qui entrent et sortent dans la pièces des urinoirs. Des bruits deau, de pas, régulièrement quelquun essaye de rentrer. On ne doit pas nous entendre
Au bout de quelques temps de caresses réciproques (jai toujours ma braguette ouverte et la bite à lair et il sen occupe fermement) il se penche vers moi et me dit à loreille dune voix très basse : «Suce moi». Je prends cela comme un ordre bien que dit doucement et sans autorité mais jai décidé dêtre sous sa domination, de faire tout ce quil va me demander et pour bien le lui faire comprendre je maccroupi aussi sec pour être à la hauteur de sa queue et pouvoir la prendre dans la bouche. Il a bon gout. Je passe ma langue autour de son gland, sur sa tige et je pompe autant que je peux, je lèche et je gobe ses couilles . Il fait chaud je me relève deux secondes pour enlever ma veste, il me la prend et la suspend à la patère de la porte en face de lui. Je reprends ma pipe et le suce de plus belle. Je commence à le branler plus fermement. Je sens quil réagit bien et a de petits gémissements. Jai peur que lon ne nous entende
je lui met un doigt sur la bouche pour lui signifier « chut » , il en profite pour le lécher. Je reprends ma tâche, il est bien dur et je le pompe vigoureusement. Il est plaqué contre le mur des toilettes et donne des coups de reins dans ma direction pour mieux pénétrer ma bouche.
Il défait ma ceinture et dégrafe mon pantalon qui tombe sur mes chevilles. Je lui roule une pelle, il se laisse faire. Il a de belles lèvres charnues que je prends plaisir à baiser et une langue étroite et dure quil samuse à faire rentrer et sortir rapidement dans ma bouche, comme le ferait un serpent, cest inattendu et troublant. Je suis bien bandé moi aussi, malgré la chaleur qui me mets un peu mal à laise mais lorsque je fais mine de dénouer ma cravate et déboutonner ma chemise, il me fait non de la main : « Jai envie de te baiser habillé comme tu es.» .
Il na pas de préservatif mais je ne veux pas me faire enculer sans. Jen cherche un dans la poche de ma veste, jen ai toujours sur moi au cas où. Je le trouve, louvre et le lui enfile prestement. Un joli bâton rose de latex luisant et glissant que je vais prendre dans le cul !
Lespace est petit. Nous inversons nos positions et je me retrouve accroupi sur la cuvette des WC pendant quil prend position derrière moi. Je nai pas de lubrifiant, il mouille ses doigts de salive et me met un doigt, puis deux dans le cul pour louvrir. Il sy prend très bien, on voit quil a lhabitude. Je suis très serré dans mon gilet avec ma cravate mais je ne dis rien, je nose pas le contredire. Je sais que ça lui fait plaisir. Limage dun col blanc quon encule et qui pourrait être son patron. Moi, cest mon côté maso qui prévaut, jaime être contraint et si ce nétait la chaleur, cest très agréable et à mon gout. Je fantasme toujours sur le fait de me faire enculer en gilet de costume comme aujourdhui et ce nest pas si souvent que cela arrive, je ne vais pas bouder mon plaisir.
Jugeant que la préparation a été suffisante, il introduit son gland dans mon trou du cul et pousse doucement pour le faire entrer. En fait elle nest pas si petite que ça cette queue ! et jai un peu mal au début mais rapidement, au fur et à mesure de la progression, cest mieux et je me remet à prendre du plaisir dautant quavec une de ses mains il me serre les couilles et tire sur ma tige tandis quavec lautre il mappui sur le dos pour mieux me faire cambrer et me pénétrer plus profond. Il me caresse sur le dos de sa main qui glisse sur le satin de mon gilet, cest à la fois très doux et très dominateur. On peut dire que je suis pris en main ! Ca y est, je sens ses couilles qui heurtent mon cul, il ma complètement pénétré et maintenant me ramone lentement en continuant de serrer fortement ma bite et mes couilles. Ses mouvements sont réguliers, précis, puissants, il me défonce vigoureusement mais avec beaucoup de tact. Je sens bien sa queue en moi. Il profite pleinement de cet instant et le fait durer le plus longtemps possible. Il me défonce sans la moindre pose mais sans le moindre à-coup non plus.
Je suis trempé de sueur et extrêmement excité, au bout de plusieurs longues minutes, je ne mesure plus le temps passé. Cela ma semblé très long et très bon, je ne peux mempêcher de décharger. Il me tient toujours la bite et me branle pendant que jéjacule sur le couvercle de la cuvette des WC, du sperme coule sur mon pantalon à mes pied. De me sentir décharger cela lexcite davantage et je sens quil ne vas pas tarder lui non plus. Il est au maximum, ses mouvements saccélèrent et ses coup sont de plus en plus violents. Jai peur que nous ne fassions trop de bruit mais je nai pas loccasion de vraiment minquiéter car chaque coup de butoir est tellement violent que je suis propulsé en avant et doit faire attention à me protéger avec mes bras pour ne pas heurter le visage. Il ne se maitrise plus comme tout à lheure. Cest devenu une bête qui est toute à sa jouissance. On dirait quil veut manéantir. Je suis secoué de partout, comme brisé et complétement à sa merci. Je suis sa chose, son vide couille et il ne ménage pas. Il pourrait me casser en deux. La tension monte en lui inexorablement. Il est lancé et ne peut plus se retenir. Je le sens enfin décharger en moi, plusieurs jets puissants, en saccades, il continue tout de même pendant un moment, avec de petits gémissements puis il finit par ralentir, en sappuyant lourdement sur moi et sarrête. Il ne bouge plus. Je sens son souffle sur ma nuque, il récupère.
Nous navons plus dit un mot depuis quil a commencé à menculer, juste échangé quelques gestes et fait le moins de bruit possible car on entend, sans arrêt des gens qui marchent à côté, qui pissent soit aux urinoirs soit dans les cabines qui jouxtent la nôtre, des bruits de chasses deau, de lavabos, des gens qui tentent en vain de rentrer dans notre cabine
.
Il reste là un moment en moi, sans bouger. Quand il se retire sa queue, elle est à demie molle. Je me redresse maladroitement, il y a peu despace. Je suis moulu, je viens den prendre un bon coup
Je me retourne face à lui, collé à lui, le préservatifs pendouille au bout de sa queue, il me fait signe de lenlever. Je prends un morceau de papier toilette, le lui enlève et le jette dans la cuvette des WC. Sa queue est encore un peu dure et appétissante, Je fais du zèle pour la lui nettoyer encore et encore, je suis si reconnaissant et satisfait, comme repu
Jen profite pour à nouveau lui lécher les couilles puis je les essuie longuement et quand sa queue est bien séchée, elle est redevenue dure alors je la reprends en bouche !
Il ne dit rien, me laisse faire et de sa main appui sur ma nuque afin que sa queue senfonce bien dans ma bouche. Jai du mal à respirer. Je ne suis pas le roi de la gorge profonde (malgré tous les conseils donnés par une amie qui en est spécialiste, je ny arrive pas ) mais je fais un effort et augmente la cadence de mes mouvements. Je suis face à lui, les deux mains sur ses fesses et fais pénétrer mes deux majeurs dans le trou de son cul en écartant au maximum. Cela lui fait beaucoup deffet, je le sens dans sa bite, il ne va pas tarder à jouir. Je ne veux pas quil éjacule dans ma bouche, aussi quand je le sens venir, je la sors de ma bouche en la serrant bien et me prends plusieurs jets de sperme en pleine figure. Je suis inondé de sperme quil sécoule ensuite sur mon gilet, ma chemise, ma cravate ! Tant pis ça ne tache pas
mais du coup je me suis mis à bander moi aussi je fais signe de me sucer, nous ne pouvons pas parler. Il prend ma queue dans la main, se baisse et la porte à sa bouche. Il la lèche un peu, mais on sent que ce nest pas son truc. Comme je durci de plus en plus, il se positionne derrière moi et se mets à me branler frénétiquement de manière plus classique. Il serre fort ma bite et la secoue violemment, menfonce un ou deux doigts dans le cul (ou trois peut être je ne suis plus en état de lévaluer). Il me serre fort dans ses bras et de sa main droite, il me caresse et pince les tétons à travers le tissus soyeux de la chemise. Cest beaucoup de plaisir
Je ne tarde pas à jouir à mon tour, jarrose de mon sperme ma veste qui est suspendue sur le mur en face. Bonjour les dégâts ! Je ne pense pas pouvoir retourner travailler dans cette tenue ! Il continue à me branler encore un moment après léjaculation. Cen en est presque douloureux mais je nai plus la force de dire quoique ce soit. Il finit par sarrêter et me donne des petites tapes appuyées sur les fesses.
Il a lair satisfait, remonte son jogging quil avait toujours sur ses chevilles et me fait un clin dil. Il semble quil ny ait personne à ce moment-là aux urinoirs, dun mouvement rapide, il ouvre la porte, sort, la referme sans un regard et me laisse seul dans la cabine. Je la verrouille à nouveau pour être tranquille et avoir le temps de me rhabiller. Ce nest pas sans mal. Jai du sperme sur tous mes vêtements que jenlève en partie avec du papier toilette et de leau , mon pantalon est fripé et ma chemise est trempée de sueur. Il ny a que mon petit gilet qui a tenu le coup . Cest rare, en général cest lui qui fait les frais de ce type débats
Jattends une petite demi-heure, pour me remettre. Jai le cul tellement défoncé que jai du mal à marcher mais je suis bien, assis sur la cuvette des WC. Je rêve quil revienne, tape à la porte et que lon recommence. Cette défonce me donne envie dencore plus de bite. Je songe, un instant, à interpeler le premier pisseur qui va arriver pour lui demander de me défoncer à nouveau. Mais je ne le fais pas, je sais que cela ne marchera pas et que je ne vais pas avoir la même qualité de baise. Tant pis.
Je sors, en me cachant un peu car jai honte de ma tenue et pars à pied chez moi me changer.
Je suis retourné plusieurs fois dans ces toilettes mais je nai plus revu mon « black niqueur ». Dommage. Heureusement , il y a eu dautres rencontres mais pas ment aussi intenses. Jai le tort de mattacher.
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